Dans l’ombre du désespoir
Introduction : Pourquoi parler du désespoir ? Ah, le désespoir ! Ce bon vieux compagnon qui sait si bien s’inviter sans prévenir, un peu comme votre belle-mère un dimanche matin. Il est là, tapi dans un coin, attendant que vous baissiez la garde pour vous susurrer des douceurs du style : "Tout est foutu, pourquoi continuer ?". On en viendrait presque à lui offrir un café, par politesse. Mais réjouissez-vous, chers lecteurs, car vous n'êtes pas seuls ! Non, vous êtes même en très bonne compagnie. Des cohortes de philosophes, des poètes et autres existences tourmentées ont pavé ce chemin avant vous. Pensez à Baudelaire, qui noyait ses tourments dans l'absinthe et les vers ténébreux, ou à Van Gogh, qui…